To beat, or not to beat (Romuald Barde, Dimitry)

Messages : 147 Date d'inscription : 17/06/2012

Une des nombreuses secrétaire de Romuald Barde toque doucement à la porte de son bureau. Le manoir de famille était immense, luxueux. Une odeur de tradition, d'histoire et de stabilité, telle était l'histoire racontée au travers des tableaux sur les murs, des merveilles artistiques et des noms gravés.

La lourde porte en chêne s'ouvre sur le bureau. Quelques écrans, des ordinateurs dernier cris. Les premiers affichages holographiques avec interaction par gant clavier Dream. De petits bijoux de technologies se disposaient un peu partout, côtoyant les armoiries anciennes et les meubles d'antan dans un contraste étonnant et pourtant distingué. Le luxe à toute époque. Sur un buffet du XVIeme, on voyait une maquette nouveau modèle de fusée Etoile ainsi que les plans de la première station martienne. Dans une grande armoire une armure de plaque complète fait dos à une formidable armure nano-tech Phatome. La grande baie vitrée offre une vue splendide de la campagne suisse alors que ce soleil d'hiver caresse la couche épaisse de neige blanche de ses doux rayons.

Alors qu'elle pousse la porte, Aurélie Favière, l'une des secrétaire personnelle de Romuald, fait son entrée dans le bureau. D'un pas décidé, cette jeune trentenaire blonde est une vraie femme d'affaire. Un tailleur ajusté à un corps entretenu tant par le stress que par la gymnastique, elle redresse ses lunettes, les yeux marrons brillant d'une intelligence qui avait surpris Romuald à l'époque.

-"Monsieur..." commença t'elle "Vous avez reçu un e-mail particulièrement urgent, il me semble que vous devriez y prêter attention."

Bien entendu, les communications de l'Organisation ne passaient pas par elle. Elle n'était pas éveillé. Mais une de ses tâches était de gérer à la fois le planning et trier le flux continu de demande électronique de contact à travers le monde. Pour qu'elle se déplace en personne, cela devait être urgent.

-"Il s'agit d'un email du président monde de Chanel, Mr De Campigneulles. Il semble s'agir d'une invitation à un évènement, l'ouverture d'un méga-club à Séoul..."

D'une impulsion sur sa tablette, l'email est directement lu à haute voix, résonnant dans le grand bureau.

"Cher Mr Barde.

Comme vous le savez sans doute, Chanel prépare actuellement le rachat d'une partie de Lewb's. Il se trouve que le fondateur sera à cette soirée, pour affaire. J'irais bien moi-même, mais malheureusement, une urgence médicale me cloue actuellement à mon lit. Lewb's est dans le top trois dans le business de la musique et le seul groupe familial. Nous sommes en négociation depuis peu, mais ils semblent néanmoins assez intéressé par ce partenariat. L'objectif étant évidemment d'accroître notre port-folio d'entreprise et de diversifier nos activités, mettre la main sur une partie de ce capital, c'est s'ouvrir les portes de nombreux contacts.
Vous vous doutez bien, nous ne sommes pas seuls sur ce coup. Le conglomérat Samsung cherche a aussi les yeux fixé sur cette entreprise. Et c'est pour cela qu'il me semble judicieux non pas d'envoyer mon numéro deux, mais vous, le président d'Orizon.
C'est une excellente opportunité pour notre entreprise de continuer à gagner du terrain en Asie. Bien entendu, mon numéro 2 pourrait s'en charger, néanmoins, je pense qu'il est nécessaire d'apporter une vision différente et de faire pencher la balance en notre faveur alors que nous jouons à l'extérieur.
J'ignore si votre emploi du temps vous permet de faire une apparition à Séoul. Je m'excuse platement de vous prévenir si peu de temps à l'avance, l'évènement ne se déroule que dans quatre jours, mais les crises cardiaques n'ont malheureusement pas le don de prévenir.
En vous priant de me faire parvenir votre réponse au plus vite. Si vous êtes intéressé vous trouverez toutes les informations en pièces jointes.

En vous remerciant, très cordialement.

Gustave De Campigneulles."

La voix s'éteint... Quelques secondes se déroulent avant qu'Aurélie ne reprenne :
-"Votre agenda présente quelques rendez-vous pendant cette période, néanmoins rien d'une importance capitale. Que voulez-vous lui répondre ?"

Mr de Barde et sa haine des particules et du respect ridicule qu’elle créait était assit à son bureau. Pourtant lui ne devait pas le respect que lui voue les gens de son entreprise ni à son argent, ni à son titre, il le devait à ces histoires plus ou moins réel que l’on raconte sur lui, à toutes ces choses qu’il fait ou ferait pour l’entreprise. Les légendes ont un bon coté mais doivent être entretenu avec de la vérité, nourrit tout les jours comme on surveille le tamagoshi que l’ont a depuis sa plus tendre enfance. Alors qu’Aurélie marchait dans le couloir où les visages quelques peux oppressant voir lubrique, son arrière grand père s’étant fait peindre une fois, pour de rire, soul, mais les autres peintures ont brulé et celle-ci est resté, pour rire, lui pensait à son emploi du temps. Il revenait de sa journée particulière, une journée où il se faisait un point d’honneur de travailler avec un groupe d’ouvrier, chercheur, ou ingénieur, tiré au hasard ou ayant besoin de son aide, et comme eux. Le jeune chef d’Orizon tenait à ce que tout le monde sache qu’il était derrière et avec eux, mais ils ne voulaient surtout pas oublier les conditions de travail de chacun. Alors, bien sûr il y avait toujours des histoires syndicats, mais comment un syndicat peut-il se permettre de contredire un chef d’entreprise qui sait réellement pour le vivre, le travail de chacun ? De plus, la transnational était réputé pour ses salaires parmi les plus élever de chaque branche, l’avantage de travailler dans le luxe et dans un secteur en croissance … Mais ce qui l’embêtait le plus et qui tournait dans ces pensé c’était le cancer qui n’avait pas réussit à être soigné de la fille d’un ouvrier de maintenance qu’il avait appelé il y a quelques minutes pour présenté ses condoléances …

Bon ne nous faisons pas non plus de ridicules illusions, il n’était pas vraiment embêté par la mort de la gamine, bien qu’il avait réussit à faire pleuré le dit père qui l’avait remercier un vingtaine de fois au téléphone et qui nourrirait la légende. Non ce qui l’embêtait c’était que ce qu’il avait tenté grâce à Scaffold n’avait marché et il était en train de réfléchir si cela était un statistique ou si le traitement avait un réel défaut et ne pourrait être mis sur le marché. 95% de réussite sur les souris, 98% sur les singes et pour l’homme, et bien les tests venaient de commencer … Aller savoir.

Mais ces histoires malheureuse, un produit qui a des risques de ne pas sortir dans les pays développé, les autres attachant moins d’importance à ce genre de détaille si il y a une chance, furent arrêter par le bruit de pas de sa première secrétaire. Elle allait frapper a son bureau, il le savait à la régularité de ses pas et faut petit bruit qu’elle fit en passant devant le portrait de celui qui résidait maintenant quelque part sous la maison et qui dérangeant autant les hommes que les femmes tellement ils semblait regarder le postérieur des passants avec intensité. Mais il avait trouvé le journal de cet aïeul et savait que ce tableau et la place qu’il avait lui aurait plut, il avait donc interdit de le déplacer ou de le mettre plus haut avec un sourire un coin ce qui en avait déstabilisé quelque uns.

Vue l’heure qu’il était Aurélie avait dût traverser tout le manoir depuis l’aile extérieur ouest où elle logeait ainsi que les autres membres nécessaire au bon fonctionnement d’horizon et leur famille pour ceux qui en avait. Il était tous de nationalité d’Orizon car logeant sur ce sol international qui avait l’avantage de pouvoir édité ses règles propres entre autre vis-à-vis des paparazzis et de l’espace aérien. Qui n’a jamais pris plaisir à autorisé les tires de balle gel sur des gens qui ont pour seul but de vous voler votre vie privé ? Et puis, avoir des loups de compagnie avait aussi un coté plaisant mais désagréable pour ces gens de la photo.

Il la laissa donc entré tout en pensant rapidement à toute ses choses et aux fait qu’il n’était pas encore allé jouer avec ses trois loups qui lui obéissait parfaitement et que cela lui manquait quelque peu, on a tous des pensés parasites non ? Et comment revenir à ses moutons dans ses cas là ?

Simplement en regardant la demoiselle entrée, la porte de chêne malgré son ancienneté était encore parcourut de ligne de ley comme la plus part de son mobilier de bois toujours parcourut de cette vie tenu qui lui permettait de ne pas entré en contact rapide et direct avec ce petit orteil qui à une fâcheuse tendance à vouloir partir en éclaireur. Derrière les dessins pour le moins inspirant venait la jeune femme, Amat de ligne bien dessiné irrigant ses membres sans montré ses formes exactes, il en connaissait la taille, la position de son visage ainsi que les sentiments qui la traversait grâce aux concentrations de flux … Ses connaissances en médecine traditionnel et en point de contact avait du bon. Bien sur il pouvait aussi dire le grain de sa peau et la douceur de son visage lié à son habitude qu’il avait de vouloir savoir et voir avec autre chose que ses yeux maintenant mort.

Quelque fois il se demandait si des gens le plaignait, il était difficile de resté concentré avec autant de pensé qui parcourait son esprit à la seconde, il la laissa donc faire son petit discourt tout en jouant avec le puzzle des tenant et des aboutissant d’un tel mail… Puis, dès qu’elle eut finit, et qu’il eut donc pris sa décision et décidé que c’était un problème statistique si la jeune fille était morte il lui répondit.

“En premier lieu vous devez savoir que je préfère votre voix à celle reconstitué de notre cher Gustave De Campigneulles. Elle est plus dansante et me permet de savoir votre avis sur la chose sans vous posé la question. Or vous savez que je tiens à votre avis. Mais notre cher Gustave, qui à enfin retenu la leçon de ne pas jouer avec cette particule dans mon cas, ne me laisse pas le choix.

Répondez lui donc que je ferais mon possible pour être présent à sa petite fête, mettez les formes et entouré tout ça d’un joli paquet cadeau avec une carte disant que je lui souhait un prompt rétablissement et que j’espère qu’il n’as pas reporté le mariage sa fille qui tombe en même temps que sa petite fête. Dite lui aussi d’envoyer son second, je veux bien faire une apparition mais il est le gestionnaire de Chanel, je donne mon accord mais les négociations sont sur son dos et ce sera lui qui sautera si elles tournent à la catastrophe, il ne me remettra pas se genre de choses sur le dos, chacun son travail. Bien sûr cela aussi devra être tartiné allégrement d’une couche de crème mais je vous laisse ce travail ingrat en m’excusant d’avance. Pour les rendez-vous faite votre possible, j’aimerais bien essayer le nouveau jet de Phatome si il a été livré, mais je vous fais une entière confiance, je n’ai jamais eut à me plaindre de quoi que ce soit depuis 6 ans que nous travaillons ensemble.

Aller me chercher mademoiselle Camille Utke s’il vous plait.”

Camille Utke, une éveillée choisit par lui et l’organisation, élève sans-voix recruté par l’organisation pour son éveille, pas assez résistante pour faire un paladin, pas assez d’amour du combat pour faire un être de terrain et une incompétence chronique en magie. Elle a répondu à la proposition de Romuald et avait été accepté après un entretien avec des membres du bureau et son futur patron, la liaison avec l’organisation et officiellement secrétaire en charge des gardes du corps répondant à Monsieur De Barde, et à l’organisation seulement …

Cela faisait maintenant deux jours qu’elle était là, et il l’avait pas revu depuis leur récent entretien, il avait trop de travail pour s'occupé de toute ses communications avec l’Organisation et avec donc fait cette demande qui s’était soldé en une dizaine de longues discutions sur les compétences de chacun. Chose étonnante un homme avait répondu à l’appelle dans ce métier étonnamment féminin, mais il avait choisit Camille pour son intelligence et ses capacité d’organisation ainsi que sa connaissance du monstre et des gens à qui les messages devait parvenir ou venait. Un tampon pour ainsi dire, un jeune tampon de 22ans, dont il n’avait qu’une vague idée du physique, ces lignes dessinait une femme plutôt jolie, dans la moyenne de poids et de taille avec un nœud magnifique au niveau du cœur, surement née de sa faible compétence en magie qui lui à valu l’acharnement de nombreux maitre et l’a fait fuir l’Atlantide avec l’aide de son nouveau chef.

Aurélie était déjà partie lorsque son cerveau passa sur l’ordre hiérarchique, elle avait sous ses ordres trois secrétaires et demi, le demi étant Camille qui ne lui était inférieur mais n’avait pas à justifier ses actes ou à tout lui dire … Cependant la demoiselle n’était pas stupide et sachant qu’Orizon trempait, comme toute les grandes entreprise, dans de nombreuses choses qu’il ne fallait pas savoir sous peine de voir sa durée de vie dramatiquement réduite, ou simplement parachuté au milieu d’une guerre civil avec pour seul vêtement et arme une feuille de laurier et une lettre de condoléance pour votre cancer foudroyant …

Quand Camille entra le jeune homme fixait la grande fenêtre de vitrage renforcé capable de se prendre un obus sans sourcilier, il regardait ses loups jouer dans le par cet lui laissa le temps d’observer son bureau. Le protocole avait été respecté, elle avait frappé, il n’avait pas répondu, elle était entré. Maintenant elle pouvait voir les meubles en bois claire, les divers écrans tous allumé et le câble qui permettait à Romuald de voir ce qu’il faisait grâce à un implant directement brancher sur son nerf optique. En ses âges avancer le fait d’être aveugle est comme l’arrêt cardiaque, un problème qui se contourne.

Autour d’elle divers représentations et œuvres, des épées, principalement des sabres, et des cannes, travailler ou non. Enfin, derrière les vitrines ses dernières invention de Phatome, une véritable armurerie prête à être utilisé sur commende vocal ou un simple signale électrique envoyer depuis son cerveau, une pensée, un mail, quelle différence ? Ici un fusil d’assaut, là une armure en nantie qui se pose sur la peau pour la solidifier et absorbé les chocs, le problème actuelle était la durée de vie d’un tel objet, elle s’adaptait intelligemment mais devait être rechargé toute les cinq heures. Ce qui n’empêchait pas le dit patron d’avoir fait installer dans sa canne une nanitière avec, entre autre, des spécimens Damascus prêt à jaillir pour sauver leur propriétaire…

Ne sachant trop ce qu’elle observait en silence il pris la parole avec la voix qui avait fait sa renommé, une voix calme et douce, agréable à écouté et toujours crédible, une voix de barde :

“Mademoiselle Utke ? Je vous remercie d’être venu si vite, mon bureau vous plait ? J’aimais particulièrement les boiseries en cerisier avant de devenir aveugle, mais je dois avouer que l’ébène de la bibliothèque me plait tout autant que l’odeur des ouvrages relier de cuire. Certain sont bien plus ancien que l’Organisation même. Pour en revenir à nos loup gambadant tranquillement dans le jardin je me dois de vous dire que je serais à une petite fête dans quatre jours, trop de monde, il me faudra donc un garde du corps compétant qui puisse rester à mes coté sans altéré l’image de la société. Mademoiselle Favière à déjà dût vous envoyer tout les détailles. Je suppose que l’organisation aura aussi un travail pour moi là bas, je leur fait confiance pour sauté sur de tel occasions. Toutes les mafias seront présente, nous auront donc le droit à un festival d’être divin prêt à fondre sur leurs proie … Petit détaille, je ne veux pas vous mettre la pression mais c’est votre gallon d’essaye, si je me retrouve avec un incapable vous serez aussi responsable que l’organisation. Mettez moi aussi quelques gardes classiques, il ne faudrait pas trop éveiller les soupesons je ne veux pas des grandes flèches clignotantes autour de moi me désignant comme cible.”

Il se retourna vers elle avec un sourire sur les lèvres, puis la jaugea de ses yeux si spéciaux. Les lignes était formel, un léger stresse mais un cerveau qui fonctionne bien, aucun problème visible de cœur ou d’autre chose, il se connecterait probablement un jour à une caméra pour voir ce que les gens du commun pouvais voir de cette femme au cœur si emplie de Ley.

“Je vais vous demander de passé tout vos appelle et vos mail depuis mon bureau car j’ai besoin d’une réponse rapide pour mettre en place tout ce qui doit l’être avant de vous laisser fignole les détaille avec votre supérieur.

Dans un tout autre registre je vous sert quelque chose ?”

Prenant sa canne il fit quelques pas vers une armoire qu’il connaissait par cœur et se servit tout en jaugeant la hauteur avec son doigt, puis goutant la délicate eau de vie. Quelques secondes après il faisait de même pour sa nouvelle secrétaire, car même si ces paroles étaient parfois dures, tout dans son attitude corporel cherchait à la maitre à l’aise. Il s’assit sur un des trois fauteuils faisant face à son bureau à coté de la demoiselle, un verre de liqueur de poire de son verger personnel à la main, l’autre tenant un verre pour la demoiselle.

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“Mademoiselle Utke ? Je vous remercie d’être venu si vite, mon bureau vous plait ? J’aimais particulièrement les boiseries en cerisier avant de devenir aveugle, mais je dois avouer que l’ébène de la bibliothèque me plait tout autant que l’odeur des ouvrages relier de cuire. Certain sont bien plus ancien que l’Organisation même. Pour en revenir à nos loup gambadant tranquillement dans le jardin je me dois de vous dire que je serais à une petite fête dans quatre jours, trop de monde, il me faudra donc un garde du corps compétant qui puisse rester à mes coté sans altéré l’image de la société. Mademoiselle Favière à déjà dût vous envoyer tout les détailles. Je suppose que l’organisation aura aussi un travail pour moi là bas, je leur fait confiance pour sauté sur de tel occasions. Toutes les mafias seront présente, nous auront donc le droit à un festival d’être divin prêt à fondre sur leurs proie … Petit détaille, je ne veux pas vous mettre la pression mais c’est votre gallon d’essaye, si je me retrouve avec un incapable vous serez aussi responsable que l’organisation. Mettez moi aussi quelques gardes classiques, il ne faudrait pas trop éveiller les soupesons je ne veux pas des grandes flèches clignotantes autour de moi me désignant comme cible.”

“Je vais vous demander de passé tout vos appelle et vos mail depuis mon bureau car j’ai besoin d’une réponse rapide pour mettre en place tout ce qui doit l’être avant de vous laisser fignole les détaille avec votre supérieur.

Dans un tout autre registre je vous sert quelque chose ?”

La jeune femme à la chevelure blonde eut un léger sourire. Elle n'était pas là depuis longtemps et son sang-froid, Romuald Barde était un homme qui pouvait rapidement rendre nerveux, même en paraissant amical. Entrer dans son bureau, dans son antre, était une expérience à la fois chaleureuse et dérangeante. Camille était une Eveillée et elle avait croisé dans sa vie de nombreux personnages étranges et décalés. Beaucoup avait des yeux capables de percer l'âme et les intentions, mais dans le cas de Romuald, c'était on ne peut plus littéral. Un léger mouvement d'une caméra qui la braque sur la gauche dans un léger bruit de mouvement électronique suffit à en rajouter à son léger malaise. Elle reprend rapidement ses esprit d'une ample respiration et reprend confiance. Elle répondit d'une voix sûre :

-"Un cognac sera idéal, je vous remercie. Je vous remercie de me tenir informé de vos déplacements. Je m'entretiendrais bien entendu avec mes supérieurs afin qu'ils s'assurent qu'un protecteur compétent se joigne à vous."

Elle s'approche d'un fauteuil ancien et stylisé dont le bois travaillé par de grands menuisier glisse sous sa douce main. Elle ne prend évidemment pas la liberté de s'asseoir sans y avoir été invité.

-"Pouvez vous m'en dire plus sur cette petite fête ? Le lieu, l'occasion... Heureuse, j'ose espérer !"

Elle cherchait évidemment à en savoir plus. Romuald faisait partie de ses hommes que l'Organisation suivait de près car la moindre de ses décisions pouvait influencer le monde. Un homme de son influence ne pouvait pas être laissé sans surveillance adéquate.

Assit il observe toujours la fenêtre, le regard vide, pointé vers les airs et le futur, le regard aveugle et fatigué, perdu comme il se doit dans le néant des lignes de ley qui ne sont pas si différentes dans l’air que dans le corps humain, comme si la terre était un gigantesque organisme vivant et pulsant de la vie … Pourtant le sang restait ce qui transportait, à ses absence d’yeux, le plus de mana, surement dût à la théologie basé sur les sacrifice de ceux qui avait fait cette relique … Elles sont surement née des tréfonds de la magie du sang. Voilà une des multiples choses qui traversait l’esprit de Romuald De Barde à cette instant précis, avec le doux gout de la liqueur, les coups qu’il allait poser sur la trentaine de partie de Go qu’il jouait en même temps et une histoire de secrétaire … Alors pourquoi parlé de la dite secrétaire ? Simplement car c’est la seul qui pouvais entendre distinctement ses paroles les poires ayant déjà été mis à mal dans un alambique de cuivre ayant appartenu à l’ancêtre qui regardait les demoiselles passant dans le couloir.

Il lui tendit son verre en fermant ses paupières soudain lourdes, il y a des choses que certaines personnes n’aimes pas, une valeur sur est souvent les choux de Bruxelles, mais dans le cas de monsieur De Barde il faisait surtout une allergie violente à la stupidité. Extrêmement brutal même, c’est pour cela qu’il choisissait tout ses compagnons avec soins, ses secrétaires en faisant parti.

-“Asseyez-vous, il ne vous arrivera rien tant que vous ferez ce pourquoi on vous à choisit parmi de nombreux candidats, trié sur le volet, sélectionné parmi les meilleurs : ne rien oublié et assuré que je ne meurs pas par inadvertance … Pas pour moi, la mort à un intérêt hautement philosophique, elle arrivera donc à point nommé, mais pour votre second employeur qui aimerais me garder en vie. Cependant j’aimerais que ce cognac Irlandais du meilleur cru ne soit pas gâché, vous n’avez pas encore reçut votre feuille de paye mais je peu vous assuré qu’en travaillant à mon service, en plus de ne pas payer d’impôts, vous aller pouvoir avoir plusieurs voitures … Mais peu de temps pour en profité. Or cela sera vrai seulement si vous ne me posé pas de questions auquel j’ai déjà répondu. Je sais je suis désagréable et je perds du temps mais regarder vos mails, comme je vous l’ai déjà dis on vous a envoyé un résumé de la petite fête, vous n’aurez donc pas à prendre de note puisque suite à votre demande je vais essayer de faire un rapide tour d’Orizon… Avec ou sans jeux de mots suivant votre bon vouloir tout en me disant que c’est pour écouté ma voix que vous me posé la question … Si vous avez une meilleur excuse je la prends bien volontiers.”

Il soupir, il n’aimait pas spécialement taper sur les gens, ni montré une quelconque supériorité hiérarchique, mais il détestait perdre du temps en vain, si elle voulait une banal relation pourquoi abordé la question comme cela ? Surement une façon de se mettre à l’aise ? Ainsi soit-il, stresse… Il s’adosse à son siège en envoyant par sms un coup de Go… Il n’aimait pas vraiment la post non plus à y réfléchir, une vieille rancune.

“Excusez mon monologue, oublié et installer vous confortablement avec la boisson, comme il se doit pour dégusté. Construisons donc sur les bases qui vous vont le mieux mais taché de me les dires ou de me les envoyé par mail.”

Il sourit, une blague ? Fort probablement pas le fait qu’il vient de gagner une des partis qu’il joue pour avoir quelque chose à l’esprit et pas une simple conversation …

“Cette fête est importante pour la société, principalement pour Chanel qui doit y crée un partenariat. Je me dois d’y faire une apparition dans cette optique tout autant que dans une optique politique car la crème du monde y sera. Ou plutôt ses artistes, ces politiques et ses mafieux … Vous comprenez donc qu’il y aura aussi sa cohorte d’éveillez, de corrompu, de loup et autres garous … Ce sera un grand parc à festin, une ouverture où l’on rassemble des âmes bien en chaire et fragile, où ont leur vend tout ce dont elles peuvent rêver, autant du sexe que de la drogue, une espèce de grand buffet pour les deux autres camps. Donc non, ça ne sera pas un plaisir, je préfèrerais largement me glisser sous mes draps avec une belle demoiselle sympathique plutôt que de devoir aller à ce genre de choses où une centaines vont me faire des avances dans le seul but d’avoir un trophée ou de me volé quelques sous. Cependant j’ai quelques affaires avec des gens plus ou moins louche qui trainerons là bas, je doute qu’ils prennent contact directement avec moi mais prenez en compte ce point, si le garde du corps ne sait garder un secret il devra être jetable … Je ne peux me permettre que certaines choses se saches. En résumé, Asie, ouverture du plus grand club existant, signature de contrat, au milieu de la drogue, de la mafia et d’un buffet ambulant … Je déteste déjà l’idée d’y aller.”

Il pose sa tête dans ses mains, soudain faible et fragile aux yeux de tous ceux qui pourrait le voir, quelques secondes, infimes, il se reprend, regonfle ses épaules, reprend une gorgé de sa liqueur et son perpétuel sourire. C’est plutôt un défit d’avoir découvert deux autres camps qu’une tare … Un défi plaisant bien que pesant.

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L'homme defaille un instant. Son visage laisse paraître un court instant une détresse, une peur. La peur d'un homme qui n'est pas né éveillé, qui n'a pas choisi son destin. Tout comme la fortune qu'il a hérité, comme ce manoir qu'il habite. Il tente encore de poser sa marque. En investissant son temps, son énergie, son argent, en se rendant utile à l'Organisation, il tentait d'oublier la peur qui le parcourait. Si jeune et tant de vies sous sa coupelle, tant de pupilles tournées vers lui avec toutes les intentions. On le regarde avec espoir, envie, jalousie, bonté, condescendance, mépris... Les yeux de la terre, du paradis et de l'enfer. Tel était la malédiction que les reliques lui avaient infligé. La perte de la vue alors que tous le regarde.

Faisant doucement oscillé son cognac Irlandais dans un verre brillant sous le soleil d'hiver, le liquide chamarée fait danser les couleurs du jardin sur sa peau. Bien entendu qu'elle avait eu le mémo. Mais elle voulait l'entendre de sa bouche, voir son langage corporel lorsqu'il parlait de cette tâche. Il l'avait bien compris, elle s'en fichait. Elle avait compris, cette tâche l'incombait, il regrettait de savoir. Ce comportement était visible chez de nombreux éveillés dès l'enfance. Il suppliait l'Organisation qu'on les épargne, qu'on les délivre du savoir, de l'éveil... Pour qu'ils puissent revoir leur famille, vivre innocent dans un monde bien assez cruel sans rajouter d'ange ou de démons... Pourtant, il avait eu l'opportunité de s'esquiver, de s'isoler. Il l'a toujours. Et malgré cette peur il continuait à prendre ce risque, à s'exposer régulièrement... C'était un homme fascinant de paradoxe, un homme d'affaire qui voyait en chaque crise, une opportunité.

-"Pour le garde du corps" répondit t'elle d'une voix assurée "Je m'en charge, vous aurez un homme compétent, professionnel et discret qui vous protégera sans vous gêner. Vous serez en sécurité sans aucun doute. Pour ce qui est des gens louches, nos services de renseignements occultes et ésotériques s'intéressent aux diverses personnalités présentes et votre garde personnel sera bien entendu informé afin d'assurer au mieux votre sécurité. Nul doute que vous pourrez rendre service sur place. Je vous tient informé dès que les retours me seront parvenus, ce qui ne saurait tardé étant donné, comme vous l'avez si bien souligné, l'importance de l'évènement. Si vous le souhaitez, je peux rester ici pour vous faire un reporting en direct."

Elle prit une petite gorgée de son verre, appréciant avec délice le breuvage réchauffant son ventre. Elle laisse un petit temps la sensation de ce goût si riche disparaître lentement : pour une Sanskrit, elle s'était surprise à aimer la vie de château.

-"Quand aux jeunes femmes, un bon moyen pourrait d'amener une cavalière. Cela éloignera les éventuelles charognardes et vous permettrais de rester focaliser sur ce qui doit être fait. Je peux demander à l'Organisation qu'ils envoient quelqu'un dans ce but si vous le souhaitez..."

Elle se doutait qu'il y avait peu de chance pour qu'il choisisse cette option. Il est plus facile de congédier un garde du corps qu'une compagne si le besoin de discrétion se fait sentir. Néanmoins, avoir une assurance supplémentaire lui permettrait certainement d'éviter un déploiement supplémentaire plus lourd et moins discret pour assurer la sécurité de ce VIP.

Il sourit, il s’est bien reprit, avoir un grand nombre de vie entre les mains et être autant haïe qu’aduler fatigue parfois. Monté sur un piédestal ridicule qui fait de lui un être exceptionnel qu’il ne se sent pas d’être, porté en permanence des grandes chaussures et un chapeau à grelot lui ferait le même effet, sauf que l’ont rie du clown et qu’on s’incline devant l’empereur… L’empereur, dire que des gens en rêve, ont ne voit toujours que les bons coté du prés du voisin, il en était aussi conscient et c’est cette conscience qui lui faisait reprendre son travail sans se plaindre de ce qu’il avait et des défaut qui allait de paire avec un nombre d’avantage qu’on ne peux réfuté que si on est joueur de foot ou ancien de la société du rail. Ou à la rigueur professeur … Des confettis explose dans l’image spirituel qu’il s’est construit autour du clown professeur, probablement danseur et possédant une prime comme celle de charbon dont il ignore l’existence même et le but de matériel mais qu’il refuse de voir partir. Ha le sang français de son arrière grand oncle refait surface …

Il explose de rire intérieurement alors que sa bouche se tord en un simulacre de rire qu’il contrôle tant bien que mal, ses pensées l’ont amené bien loin, comme souvent, mais cette fois-ci sur un sujet bien plus plaisant. Alors le ton fait de même et la discutions reprend :

-“Je ne me fais aucun doute sur le fait que vous trouverez un garde compétent et que mon staff sera tellement briffé qu’il en dormira pendant les moments important. C’est toujours ainsi les premières fois, essayer de tenir sur une chaise à écouté un discourt sans rebondissement plus de 20 minutes, c’est … Passionnément endormant. Mais vous verrez bien, cela fait parti de votre travail, et c’est bien plus embêtant que les anges et les démons réunit en un congrès pour savoir qui mangera la dernière boite de ton rouge que les japonais on finit d’exterminé.”

Il tend la main et se rappelle de cette histoire, nombre d’espèce ont été massacré par l’homme pour des raisons qui ne peuvent être comprise qu’en plongeant dans la culture, l’histoire et l’économie du moment, un savant mélange affreusement complexe qui a fait monté des bords politiques aussi violant les uns que les autres et qui reste encré encore à présent dans tout les paix, de puissant ennemies et de belles acquaintances pour les anges comme pour les démons. Certain seront à cette fête eux aussi, il n’y aura pas que des créatures, mais aussi leur relai, leurs suppos, leurs amis de toujours ou d’un soir. L’alchimie prend place … Le cerveau coupe des pièces et les met, les fait tournoyer dans ce fantastique puzzle …

“Quand à la demoiselle, si il y a bien un seul et unique avantage à être célibataire c’est de pouvoir regarder où l’ont veux et de ne pas avoir quelqu’un que vous ne pouvez renvoyer rapidement. Je ne veux donc pas que l’Organisation me fournisse un problème de plus, je suis déjà aveugle et vous n’imaginé le nombre de photographe qu’il y aura, la personne deviendrait personnalité publique en moins de quelques secondes… Plus moyen de faire la moindre missions, son passé démonté, dépouillé, mis en miette par une bande de rapace bien plus influant et puissant que vous ne pouvez le pensé. Ne sous estimé jamais les journalistes, ou vous leur montrerez la place de l’association. Une vie sacrifiée juste pour une petite fête, nous allons éviter à moins que vous n’ayez une jolie demoiselle d’agréable compagnie qui serait prête à tout sacrifier pour une soirée avec moi… Dans une décision réfléchit.”

Une nouvelle gorgé de liqueur et le sourire, il a évité quelques scandales grâce à ses réflexions, il n’était pas vraiment temps d’en crée un de toute pièce, il était une figure de proue, une personnalité publique, celles qui n’ont le droit à aucun vice, à aucun écart, une cavalière peu devenir une compagne, un être avec qui l’ont se lie pour la vie, une faiblesse, bien trop dangereuse pour tous.

“Faite comme il vous en conviendra, rester ici ou aller dans votre bureau mais faites entré le garde du corps dès qu’il arrive, je voudrais discuté un peu avec lui, probablement lui monté une identité si besoin s’en fait sentir mais surtout avoir un compagnon de discussion pour l’avion … Nous auront qu’à avoir ne briefing de mission ensemble si l’association lui fait entièrement confiance, cela pourrait être sympathique. J’attend ça avec impatience…”

En disant cela il se lève et vas se placer derrière son bureau, là il se connecte par un câble et commence à travailler, il a déjà pris bien assez de retard comme cela, elle pourra l’interrompre sans le moindre souci sachant qu’il garde une conscience, le plongeons n’est pas encore possible.

[Hrp] Tu peux faire un saut jusqu’au brif si tu veux ou continué dans la lancé c’est toi le chef, chef Wink

[/Hrp]

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La berline s'avance dans la campagne suisse, ses pneus neige traçant la route avec une aisance et un silence rêveur. La région environnante était recouvert d'un beau manteau blanc, fraîchement tombé pendant la nuit. La voiture avait roulé depuis le petit matin, à l'intérieur, trois hommes. Un chauffeur aux lunettes noires tenait fermement les commandes en silences tandis qu'à l'arrière, un homme d'une cinquantaine d'année se tournait vers Dimitry Guryev en lui montrant les plans holographique des trajets, entrée et sorties de My Alibi.

Le trajet était fort simple, monsieur De Barde devait prendre son jet privé depuis un petit aéroport non loin de sa propriété. Dimitry devait l'accompagner, monté à bord et l'accompagner tout au long de la soirée pour assurer sa protection. Le capitaine Bolt, un américain caucasien aux cheveux poivre et sel, continue son briefing.

-"Je sais ce que tu penses Dimitry, tu es un soldat, pas un garde du corps, tu n'as pas eu une formation suffisamment approfondie en terme de protection des VIP, à peine un mois d'entrainement après ta mission en Colombie. Néanmoins, tu ne seras pas seul. Irina Kalichnov, une Partisan reconnue (les Partisans sont les Gardiens spécialisé dans la protection des VIP) avec beaucoup d'expérience sera aussi de la partie. Néanmoins, en terme de combat contre des forces surnaturels, tu possèdes plus d'expérience et c'est toi le responsable lors de cette mission. Nous avons fait appel à toi car, bien que tu ne puisse pas emmener Monik sur place, nous avons des raisons de croire que Demian Bedny sera de la partie."

Le profil d'un homme au visage carré et aux traits marqué apparait alors à l'écran. Il a les cheveux rasés blonds.

-"Membre d'une mafia russe ashkénazes en lien avec de nombreux cultes angéliques, Demian Bedny est une personnalité influente du crime organisé russe. Bien que des supposition existe quand à son implication directe avec des anges, il n'est pas sous l'influence directe de l'un d'entre eux ou possédé à notre connaissance. C'est un magnat du Lithium afghan, denrée essentielle à la fabrication des composés électroniques. Il a récemment changé son programme habituel pour se rendre à la soirée."

Dimitry connait bien ces milieux. Les mafias russes peuvent obtenir beaucoup de choses à ceux qui savent les trouver, et les juifs Ashkénazes font partie des mafias les plus implantées de par le monde, diversifiant leurs activités et profitant de la Diaspora juive pour infiltrer toute sorte de milieu.

-"Demian amène un homme de main, un combattant du nom de Nikolaï Iazikov. C'est un mercenaire à présent, vous aviez travaillé ensemble en Ukraine pendant les efforts de stabilisation du pays en 2028."

Dimitry se souvient de la période de chaos qui avait suivi aux terribles évènements de 2013-2014. Les anges et les démons en avait largement profité et le pays ne montrait aucun signe d'amélioration. L'Organisation avait du envoyer les Loups de Fers, sous couvert de compagnie de mercenaire privée, pour rétablir un semblant d'ordre et éviter une corruption trop brutale. Dimitry était jeune à l'époque, mais déjà très compétent. Il avait combattu aux côté de Nikolaï, de quatre ans son aîné, contre des cultistes démoniaque (bien que pour Nikolaï, ils étaient simplement des terroristes enragés).

-"Nous voulons savoir ce qui se trame, pourquoi Demian vient à cette soirée comme en réponse à la venue de monsieur De Barde. En tant que garde du corps, vous êtes incognito. Irina vous laissera le champ un peu plus libre pour discuter avec Nikolaï, mais soyez professionnel. Monik sera acheminé dans un casier sécurisé du My Alibi en cas d'extrême urgence. Et je souligne extrême. Il s'agit d'une enquête doublée de la protection d'un VIP dans un lieu public sensible. Si vous avez des questions supplémentaires sur ce que je viens de dire, c'est le moment. Je parlerais ensuite plus en détail des lieux, du VIP et des outils à votre disposition."

Le capitaine parle avec une voix grave et assurée. C'est un Partisan, mais il est clair que l'âge l'a marqué. Et les partisans vieux sont rares. Il laissait son expérience parler et coordonnait à présent les missions d'escorte de Partisans à travers le globe. Il préférait la méthode directe, le vrai contact, que les conversations par téléphone pour les briefings, d'où sa présence sur place.

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Pendant ce temps là, dans la demeure de Romuald, le matin illumine lentement les hautes fenêtres de la maisonnée. Camille Utke toque doucement à la porte, attend un instant, puis rentre, sa tablette en main. Ses talons cliquettent sur le parquet ancien, elle s'approche, s'arrête, attend un instant et dit:

-"Cher Monsieur De Barde. Votre voiture arrivera dans une vingtaine de minutes. Je vous ai envoyé le résumé avec la feuille de route. Au final vous aurez à cette soirée deux gardiens ainsi que deux autres gardes du corps parfaitement qualifiés pour vous accompagner. Voulez vous que j'emmène quelque chose de particulier, ou des arrangements de dernière minute à assurer ?"

Mademoiselle Utke semble calme bien que son aura trahit une légère once d'inquiétude qu'elle prend pour de l'excitation. Elle est du voyage, bien qu'elle n'aille pas au My Alibi... Elle assurerais la coordination de l'équipe et le lien avec l'Organisation. Mais, mine de rien, elle s'était attaché à Romuald. Rien de sérieux bien sûr...

Dans tous les cas, son ton ne laissait rien paraître de ses inquiétudes, elle restait professionnelle et disponible à 120%.

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

Dimitry avait passé un mois à s'entrainer dans un domaine dans lequel il manquait d'intéret - la protection de VIP n'était pas son fort, et encore moins dans une soirée incognito. Sans son armure de plastacier et surtout sans Monik, il se sentait nu. La douce vibration de ses implants et le bruit métallique de son avant-bras butant contre la portière lui rappelaient néanmoins qu'il avait toujours un compagnon.

Après la mission en Colombie, il était tout de meme heureux de retrouver la civilisation, et surtout la neige. Il aimait la neige, surtout quand les flocons se posent sur le cannon brulant de Monik avant de s'évaporer instantanément. La Suisse n'était pas son pays préféré. Trop propre, trop organisé, voilant un coté sombre derrière un sourire mielleux. Il préférait la purité rude de la tundra russe.

Néanmoins, la Mission est la Mission. Et si la mafia russe était en effet impliquée, il faudra du muscle, et du tact. Et Dimitry avait les deux. Pas beaucoup d'opportunités de dire la mauvaise chose quand on n'aime pas parler.

Dimitry eut néanmoins un temps de pause en entendant le nom de Nikolaï Iazikov. Un vrai guerrier, un solide, capable et sans remords. Surtout, facilement influencable, mais pas un mauvais gars dans le fond.

Il avait entendu parler de Demian Bedny. Un nom qui faisait peu de vagues, juste assez pour ne pas etre élevé en risque urgent. Si il se montrait, en public, en Suisse, dans un club comme le My Alibi, c'est que quelque chose d'important se passait, qui concernait les anges.

Les Anges étaient désagréables à combattre, mais leur arrogance et leur insupportable tendance à se considérer comme moralement supérieur peut etre utilisé pour les révéler. Mais ceux qui savent se dissimuler le font mieux que les démons les plus sournois. Il faudra qu'il fasse très attention. Déjà les scénarios possibles se bousculaient dans sa tete.

Il était intrigué par la personne qu'il devait protéger, Romualde Barde. Rares sont les Sans-Voix vus avec tant d'influence, tout en restant aussi loin des grandes discussions politiques de l'Organisation.

Sentant la voiture ralentire, il se rendit compte qu'ils étaient enfin arrivés à l'aéroport, l'avion l'amenant au My Alibi étant déjà présent.

Le Partisan qui l'avait briefé lui donna les derniers détails de communication. Après lui avoir serré la main, il sortit de la voiture, et attendit l'arrivée du Sans Voix. La mission allait pouvoir commencer.

Le matin, moment que les gens exècrent par-dessus tout avec ses stupides obligations nées de la société, de la culture ou de la nécessité. Une histoire des plus complexes qui fait que les gens se lève toujours du même pied pour jusqu’à ce que leur horoscope leur ai dit qu’aujourd’hui il avait le droit d’être heureux … Car les horoscope ont se pouvoir sur bien des gens et ce n’est pas monsieur De Barde qui vas s’en plaindre pour la bonne raison qu’il en vend une grande parti sous un nom de boite : Lunae … Une flopée de phrase puits pour une poignée de dollars et quelques un de plus …

Mais le personnage n’est pas à attendre le matin ou même les horoscopes, ou même les journaux, qui étant porté par la poste on tendance à arrivé à une heure incertaine pour peux qu’ils aient l’envie soudaine de visité un autre continent, ce qui en soit est tout à fait compréhensible ! Non Romuald lui est dehors pour le lever du jour, assis dans le jardin mais ne perdant pas une miette du discourt de la nouvelle secrétaire par un savant système de micro. En pratique peu de gens de la maisonnée se lèvent avant lui et ils sont assez vite au courant que si le soir on trouve le maitre tôt dans sa chambre, le matin il l’as fuit avant que les premiers rayons l’atteigne.

C’est donc parmi les loups, ses loups, que le descendant des peu illustres De Barde se prépare à allé affronter les véritables dangers de cette planète et grand créateur de misère, les autres riches. Et la main dans une fourrure touffue, qui pleine de dignité se roule sur le dos qu’il répond à mademoiselle Utke :

-“Venez me chercher dans le jardin quand la voiture arrivera, il ne sert à rien d’attendre devant la porte j’y suis déjà. Par contre oui j’aimerais que vous vérifiez que l’avion est bien celui que j’ai demander et qu’il y ai à l’intérieur de celui-ci les dernières trouvailles de Phatom qui sont en état … J’aimerais être d’une aide précieuse à nos chers gardiens … Je voudrais aussi la fiche précise des deux gardiens, pour celle de garde leurs noms suffira je doute qu’il soit nouveau il y a donc la base de donnée … Et enfin, un bon repas pour dans l’avion, je vous laisse choisir le menu, je ne l’ai pas fait hier soir et je tiens à ce que se soit votre choix, pour votre premier voyage je vous doit bien ça.”

Il sourit dans le fin font du jardin, dans quelques heures quelqu’un passera s’occuper de sa chambre déjà ranger, puis la vie prendra vraiment son cours dans la maison… Et même si vingt minutes c’est pour prévoir un repas un repas c’est dans l’avion qu’il sera cuisiné donc il n’est question que de prendre dans la réserve la denrée rare dont il sera constitué, une difficulté bien moindre pour le cuisinier attitré du noble par non choix qui attend déjà la commende d’une secrétaire. Un maitre facétieux mais agréable…

Quelques minutes après, alors que la voiture du garde du corps arrive au portail et passe le contrôle de douane qui est nécessaire à la sortie en territoire international elle s’arrête sur le sol de gravier qui à, par son bruit caractéristique, annoncé l’arrivé au manoir. Dehors, devant la grande porte, attend un majordome digne et droit, mais c’est bien en vue, à coté d’un bosquet de rose, assis dans l’herbe dans un costume bien taillé que le maitre de maison attend ses invités pour l’instant bien garder par ses animaux favori, une meute de loup des Carpates. La fraicheur du matin et du temps semble n’avoir que peu d’influence sur lui et au loin la partie enneigée du jardin est couvert de trace signalant que l’humain à jouer avec les loups. Pourtant aucune trace n’en est restée sur son costume.

Alors il se lève et s’inclinant comme on fait devant un être de son rang il sourit de plus belle et son visage, encore un peu fatigué d’avoir joué avec des animaux bien plus adapté à la neige que lui, s’illumine avec grâce, on comprend facilement pourquoi il est si réputé et pourquoi il peu aisément être la figure de proue de sa société.

“Bien venu à Orizon messieurs et peu être dames, ne vous donnez pas la peine de sortir nous repartons aussitôt vers l’avion, juste le temps pour moi de reprendre mon souffle et de dire à bientôt à mes amis et garde de cette belle propriété puis je vous suis dans la véhicule pour une longue et passionnante discutions sur comment aller vous empêcher quelqu’un d’avoir ma peau cette fois-ci. Et sur les obligations que vous aurez en retour bien entendu… Vous savez tous que je serais outré de ne pas être désagréable.”

C’était une réputation qu’il s’était donné lui-même, celle d’un être exigeant, réputation qu’il avait tendance à tenir aussi bien envers lui qu’envers les autres et certain trouvait cela quelque peu désagréable. C’est donc sans autre cérémonie qu’il plonge son visage dans la fourrure des loups qui l’un après l’autre repartent à leurs occupations journalières : Loup de garde contre les paparazzi et danger mortel pour des terroristes … Car quelques secondes après ils ne sont plus visible dans ce merveilleux paysage suisse peuplé d’arbre, de montagne, de neige et de pierres où sort comme par magie un manoir, une route, et dans quelques minutes un aéroport.

Une fois ce protocole fort important finit il commence à se dirigé vers le véhicule avant lequel il sera surement pris en charge par une main secourable de secrétaire ou au moins de majordome car être aveugle à soit dit en passant quelques inconvenants quand il est question de savoir où est exactement la porte d’une voiture qui n’étant pas magique ne lui apparait pas …

La canne touche une dernière fois le sol avec cet écho caractéristique des objets de ceux qui ne voient plus et le voyage peu donc commencé pour le plus grand bonheur de tout de monde et surtout de ceux qui les attendent à destination et qui seraient fort déçut de ne pas les voir arriver.

Il est toujours mal vue de faire attendre ses ennemis, surtout lorsqu’on est déjà fortement désiré !

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

La demeure de M. Barde - ou plutot, son manoir - était très différente de ce qui était à l'habitude de Dimitry. Il était plutot habitué à ce que ses associés résident dans des taudis barricadés, pas une énorme baraque qui sentait la fortune à plein nez.

Il était appréhensif à l'idée de rencontrer ce personnage. Pas vraiment dans ses fréquentations habituelles. Néanmoins, voyant l'homme approcher lentement, il reconnaissait une certaine aisance et fluidité de mouvement qui ne trompaient pas son oeil avisé: ce type était dangereux.

Et aveugle. Dimitry savait ce type très capable. Et probablement pas vraiment capable de se défendre autrement qu'avec sa langue, qui était clairement son instrument principal. Il était difficile d'imaginer quelqu'un de plus différent de lui.

Romualde s'arréta à quelques pas de lui, attendant clairement de l'aide pour entrer dans la voiture. Dimitry eut un temps d'arret, connaissant peu les normes appropriées. Dans le doute, il utilisa simplement ce qu'on lui avait appris par son entrainement de garde du corps, s'approchant sans un mot et placant une main dans son dos et une sur son bras, le guidant dans la voiture.

S'asseyant avec lui sur les sièges en cuir, Dimitry observa un instant l'homme en face de lui, son attitude, sa fourrure de loup autour de son cou...

"M. Romualde. Je suis Dimitry, et je serais votre protection ce soir. Je serais vos muscles, vos yeux, votre bouclier. Vous vous occupez de ce que vous savez faire, et vous me faites confiance pour le reste. Nous devrions arriver bientot à l'aéroport. Il me faut des informations pour mieux vous protéger. Nous avons quelques heures - il me faut vous connaitre d'ici là.

Simplement parlant. Il se peut que l'on tombe sur des hostiles que vous connaissez et pas moi. Il me faut savoir si vous avez des capacités qui nous permettent d'etre prets, de les identifier."

Lentement il entre dans la voiture avec l’aide de son nouveau garde du corps, à première impression, vue ses mouvement, un homme plutôt grand et fort, probablement russe, ainsi soit-il il parlera en russe avec son garde du corps, le sien date, il a oublié certain des mots, il est pour ainsi dire, juste d’un très bon niveau mais pas parfait, passé pour un russe oui, mais pas pour un littéraire russe. La triste réalité des choses.

Alors qu’il est assit et que la voiture démarre il écoute les questions de l’homme. Et laisse son cerveau y réfléchir quelques longs instants, au moins une seconde, et répond dans un russe des plus fluides calme et assuré, sérieux pour le moins mais pas agressif.

-“En premier lieu, non que ça ne me gène, mais si l’erreur est faite durant le séjour je serais contraint de vous renvoyé pour garder la face, Romuald est mon prénom, en public ce sera Monsieur De Barde, et oui malheureusement la particule sera obligatoire aussi.”

Il avait prononcé son nom avec un net accent français tranchant profondément avec les tonalités chantantes et les nombreux accents du russe. Il semble fixer son interlocuteur, comme si derrière ses lunettes noires, les pierres qui lui servent d’yeux lui permettaient une telle absurdité. Pourtant il en apprend bien plus que la plus part des voyants. Eveillé, il est emplie de machine où les lignes de Ley ne passent pas, cet homme est reconstruit, dans un coin de son cerveau il cherche les effets de la magie sur les cybog, comme les lignes de mana ne les traverse pas de la même façon il doute que ces dernier vive les pouvoirs dans la même ligné que ne les ressente les gens du commun.

“Pour le reste, ce que vous aller entendre sont des informations classifier, même pour l’organisation, mes compétences ne seront donc pas divulgué, même dans votre rapport…” Un temps d’arrêt, une respiration, il vérifie que tout soit bien en place pour l’homme en face de lui. “Je suis, je le crois, le meilleur Hackeur que ce monde porte actuellement, non comptent d’avoir crée le réseau mondial et d’en connaitre tout les défauts que je me suis laissé, je sais les exploités, aucune caméra, aucun système informatique, ne m’est étranger si on me laisse le temps. De plus je voix très différemment de vous, je vois la magie, je ne vais pas prendre le temps de vous expliquer mais je peux voir un ange ou un éveillé bien mieux que vous, mais les murs sont pour moi invisible la plus part du temps…

Autrement dis, je suis sans défense contre le plus gros des problèmes que nous allons rencontrer, les hordes de fans qui considère que je leur dois un instant de ma vie. Et plus dangereux encore, les journalistes ! Pour le reste, personne ne devrait être assez stupide pour tenter un attenta directement contre moi, pas même les anges ou les démons. Pour faire simple la presse internationale me considère comme un gage de paix et de neutralité, quiconque s’attaque à moi sera considéré comme Mauvais. Bien sur ça donnera des idées à certain, mais trop de gens, trop de possibilité de souvenir … Peu être un kidnapping, mais ils ne s’en prendront pas directement à ma vie. Vous auriez donc au moins quelques heures pour vous rattraper…

Pour le reste, il va surement y avoir de nombreuses personnes qui vont essayer de m’abordé au cours de ce séjour pour de nombreuses et absurdes raisons. Malheureusement vous ne pourrez pas tous les mettre dehors, mais je compte sur vous pour rester avec moi, quoi qu’il arrive. Mes autres gardes connaissent les gens autorisé à entré dans les périmètres de sécurité, et rassuré ils sont rare.

On en revient donc au problème majeur, les gens du commun. J’ai une certaine image à laquelle je tiens, il va donc me falloir être agréable à leurs yeux, je serais donc la plus part du temps presser et avec un objectif précis, mais je ne veux aucun débordement vis-à-vis des gens du commun … Je m’arrêterais surement pour discuté avec certain d’entre eux.

Je sais aussi que l’ont vous à refusé les armes trop voyantes, étant le patron de Phatom j’ai fait venir une petite armurerie dans mon avion, vous pourrez prendre ce dont vous avez besoin, dont des balles à mercures ou bénies ainsi que les derniers pistolets ou fusils démontables. Nous avons aussi des nanties qui pourront vous être utile, je vous conseil de faire vos courses avec ma secrétaire durant le voyage… Si votre travail est bien fait vous pourrez surement garder quelque chose en dédommagement, pour tous vos malheur et le fait que je ne vois pas d’ennemi direct qui pourrais m’en vouloir, je ne transporte aucun dossier important sur moi ni aucune clef… A par ma personne et mon image, ce qui fait déjà un gros travail je l’admets.

Pour le reste je pense que la demoiselle vous à prévu un long briefing dans l’avion qu’il me fera plaisir d’écouté aussi.”

La voiture ralentie, le bruit de tarmac, à travers les vitres teintées on peu surement voir dès à présent le dernier jet de Phatom …

“Pouvez-vous m’aider à descendre et à embarquer ? Et ne vous en faite pas, je ne suis pas fragile …”

Messages : 147 Date d'inscription : 17/06/2012

Alors que la voiture s'approche du jet, une jeune femme à l'air dur attend en bas des escaliers. Alors que la limousine s'immobilise à proximité des escaliers, la jeune femme s'approche. Cheveux noir, court, c'est une asiatique à la démarche assuré malgré une apparence plutôt chétive. Elle porte une combinaison pour se protéger du froid. Il existe deux courants de pensée chez les gardiens, les Progressiste, qui accueille la cybernétisation et les méthodes actuelles de combat, et les Traditionnalistes qui cherchent à se rapprocher de leur Anima et pratique plutôt des arts martiaux anciens et reculés. Bien sûr, les Gardiens ne tombent pas tous dans les extrêmes et les positions sur l'éventail sont nombreuses. Néanmoins, de par le fait qu'elle est censée monté la garde du jet et ne porte aucune arme ou armure perfectionnée, vous vous doutez qu'elle ne penche pas trop du côté progressiste. Néanmoins, les yeux de Romuald ne se trompent pas aux apparence. Un module étrange que les lignes Ley apparaît sur son coeur, et Romuald reconnait bien vite le genre de perturbation causée par un de ses produits, un injecteur de drogue de combat Scaffold.

To beat, or not to beat (Romuald Barde, Dimitry) Cultrue_02

Lorsque la portière s'ouvre, elle fais un tour rapide du périmètre des yeux. Rien, si ce n'est les belles vallées blanches de la Suisse où tout son est étouffé par la couche de neige nacrée et ne reste que le bruit du vent froid qui souffle par intermittence en cette zone montagneuse.

Alors que Dimitry et Romuald descendent de la voiture, elle vous salue.

-"Bonjour. Tout est prêt à l'intérieur, si vous voulez bien vous installer à bord."

Elle parle un anglais empreint d'un lourd accent russe. Néanmoins, son héritage asiatique se sent dans ses traits et dans sa carrure. Probablement une métisse. Elle parle d'un ton humble et effacé, ce n'est pas son rôle de s'étendre.

Mademoiselle Utke sort alors d'une berline qui les avait suivi. Sortant sa tablette holographique, elle attend que chacun s'installe à bord avant de s'installer elle même.

Alors que Dimitry entre dans le jet privé de Romuald De Barde, il peut sentir toute l'influence et la puissance de l'homme qu'il escorte.*

Un e-mail arrive pour Romuald, c'est Camille Utke. Un rapport complet ppréliminaire sur les membre de l'Organisation. Il est probable que Camille Utke ne partage pas beaucoup plus d'informations :

-"Voici les informations que j'ai réussi à obtenir suite à votre demande,

Nom : Guryev
Prénom : Dimitry
Origine, pays de naissance : Russie
Age de recrutement par l’organisation : 8
Age actuel : 37
Spécialité : Démolition, Appui lourd, Soutien
Affiliation connue :
Amélioration crânienne non réglementaire et expérimentale de chez LMNG Corp. LMNG est une compagnie d'armement américaine issue de la fusion en 2028 de deux géants de l'armement, Lockheed Martin et Northdrop Grumman, pour former une des plus grandes corporations américaines d'armement. Obtenir un implant aussi controversé et récent n'est possible qu'en cas de partenariat avec LMNG Corp. (note de Camille, je peux chercher plus profondément ce point si vous le désirez)
Aucune implication politique connue
Ancien membre des Seigneurs de Fers, groupe de Gardiens d'Europe de l'Est. A dû démissionner pour devenir électron libre suite à un incident classifié (note de Camille, je peux chercher plus profondément ce point si vous le désirez)
Nombre de mission réussie impressionnante pour son âge, a fait ses preuves et a un track record exemplaire si ce n'est l'incident classifié

Nom : Kalichnov
Prénom : Irina
Origine, pays de naissance : Corée du Sud
Age de recrutement par l’organisation : 11
Age actuel : 29
Spécialité : Escorte, Assassinat, combat à main nue
Affilitation connue :
Changement d'identité organisée par l'Organisation à 8 ans. Tout a été fait légalement et il y a des traces dans les registres. Son vrai nom est Meïlin Choï, mère russe, père coréen. Père tué dans un raid de l'Organisation alors qu'il s'apprêtait à sacrifier sa fille de 10 ans à un culte angélique de Gabriel. Grand frère disparu.
Volontaire au partenariat entre l'Organisation et Scaffold pour tester les nouvelles biotech. Progressiste modérée officiellement, affilié politiquement au Général Paviar, actuellement membre du Conseil.
Rumeur non confirmée de liaison entre elle et le général Paviar. (note de Camille, je peux chercher plus profondément ce point si vous le désirez)

Cordialement,
Camille Utke"

*(Je laisse à Romuald le soin de décrire le jet)

Monsieur De Barde sort de la limousine blindé qui l’a accueillit quelques cours instant et dans laquelle il vient de révélé des informations classé top secret même pour les membres de son organisation ce qui montre un certain stresse vis-à-vis de cette rencontre. Pour une fois il ne contrôle pas tout et est obligé de se laissé guidé par certaines personnes et donc de leur dévoilé des secret. Pour un homme qui à toujours été suivit au doigt et à l’œil depuis sa plus tendre enfance vous comprendrez que cela à quelque chose de frustrant. Ainsi, même lorsqu’il a acheté des actions qui semblaient perdu personne ne l’a contredit et par ce simple fait il a fait changer la balance de l’entreprise, monsieur De barde achète là bas ! Une bonne action, chose qu’il avait prévu … Tout en jouant aux échecs et au go …

Mais là, il avait beau tourné le problème dans tout les sens, il y avait trop d’inconnu, il ne pouvait tout contrôler, être sur de tout. La signature du contrat n’était pas un problème, bien au contraire, c’était une formalité, le problème viendrait du reste, les gens, les fans, la folie ambiante … Simplement le club. Il n’aimait pas les gens, pas les foules, malgré tout les traité de psychologie, d’anthropologie et de mécanique des fluides, malgré le faite qu’il était assez fou pour savoir où se positionné ou comment optimisé la trajectoire dans n’importe quelle bâtiment pour rentré en contact avec le moins de personne possible et ce le plus rapidement possible, si les foules étaient prévisibles les individualités ne l’étaient pas, et en ça elles étaient effrayantes. Or il allait y avoir des individualités … Il n’y avait pas à dire, pour une personnalité publique, il aimait aussi peu les foules que la poste, et c’était peux dire.

Mais, comme à son habitude la canne était sorti en première, puis le corps mince et agréable à regarder et son visage s’était révélé à la lumière, fin, souriant, avenant et charmeur sans en avoir l’air, tout de décontraction et de contrôle de soit … Un calme exemplaire et une maitrise parfaite, le sourire en prime, tout droit sorti d’une publicité pour dentifrice mais sans le besoin des multiples filtres Photoshop utilisé pour rendre les muscles plus saillant, la truffe moins humide, et les yeux plus empreint de malice … Personne ne pouvais savoir qu’il venait de dire sa peur en des mots bien peu avenant à le croire effrayé.

Devant lui, et derrière la demoiselle, ou dame vue son âge, qu’il ne voyait pas, se tenait le jet de Phatom, la dernière des créations, mise sur le marché très récemment elle était trop cher pour les états et servait en ce moment uniquement aux chefs d’entreprise les plus fortuné, dont Monsieur de Barde : Un profil bas, un désigne des plus étonnant car presque invisible à l’œil nu même sans la système hologramme qui viendrait perfectionné tout ça mais grâce à des miroirs et des peintures choisit avec soin. Furtif, il l’était, tout autant que puissant, au vue de son fuselage et de sa coque, les vols en haute atmosphère étaient possible, le voyage prendrait donc bien moins longtemps qu’avec un avion classique. De plus quelques détailles montraient qu’en cas d’attaque il n’était pas sans défense. Au final il ressemblant plus à un avion de chasse qu’a un avion de ligne si ce n’est la taille et le corps facilement accessible pour les passages. Il était de la taille d’un de ces anciens Concorde et portait le doux nom de 747 Phantom en hommage à uen bande dessiné et à un avion perdu de tout les radars, domaine dans lequel excellait le Phantom.

Mais le plus étonnant était l’intérieur dans lequel Romuald s’engouffra sans attendre l’aide de quiconque, il avait participé à la conception du chef d’œuvre et le connaissait donc sur les bouts des doigts. Organisé comme un salon de réception, une vingtaine de siège étaient placé de si de là, fixé sur des railles invisibles et pouvant tourner où être fixé à la position voulu en fonction du choix de chacun. Un sol en une douce moquette couvrait le complexe réseau et permettait de se déplacé à son aise grâce à un système anti dérapant et de fines lamelle de types gecko qui venait affleurer à la surface en cas de secousse de l’avion évitant à l’imprudent debout de volé gaiment contre le plafond qui était bien moins accueillant que la dite moquette ou que les fauteuils en cuire. Des tables de bois fin, principalement de l’ébène et de l’orme attendant les convives et quelques armoires vitré contant des tablettes ou des objets de Phatom voilait des hublots teinté en retour. L’avion était un écrin de douceur hautement protecteur car conçut pour pouvoir être une base aérienne stratégique quant l’armé aurait l’argent de s’en offrir un … Bientôt fort probablement vue la demande.

Comble de la stupidité du Luxe une autre salle était accessible où un jacuzzi attendait les convives qui voulait se détendre où se laver entre deux réunion à deux bouts opposé du globe. L’eau y était chargé en nanoparticule ce qui empêchait qu’elle ne s’envole en cas de turbulence et aidait donc le pauvre riche malheureux de ces trous d’air incongru qui ne lui avait pas demandé son avis –les fourbes-, à ce maintenir dans le bain. Mais malgré tout ça il n’était utilisable qu’en vol et les loopings qu’était capable de maintenir la machinerie autant que l’accélération dantesque restaient des complications qui n’étaient contournés que grâce à un capo refermable … Triste sort pour les riches que l’imposition des lois de la physique.

Mais ce qui était bien plus important et que l’armoire à liqueur était remplie et que chacun pouvais se servir à son gré tout autant que de nourriture proposé elle aussi dans une des armoires vitré mais entièrement automatisé.

Une fois entré le maitre de maison proposa un verre à chacun renouvelant toujours la méthode la plus basique qu’un aveugle puisse faire pour servir chacun et réservant une petite phrase à tous :

-“Messieurs de la LMNG Corp j’espère que cette petite vision vous à plus mais il est aussi simple de venir le visité sur le salon … Cependant mon cher ami je me verrais dans l’obligation de vérifier votre cyber cerveau durant notre séjour en avion, tout était brouillé jusqu’à maintenant mais comme je ne pourrais rien au club il faudra que certain secret reste uniquement dans votre mémoire ne puisse être atteint par ceux qui vous on fournit ce model bien ancien comparé à ce que fait Horizon … Mais prenez un verre je m’y plongerais dans quelques minutes.”

“Mademoiselle j’espère que votre implant vous plait et qu’il fonctionne pour le mieux, j’aimerais beaucoup avoir le temps de discuté avec vous mais votre ami risque de délivré des secret contre sa volonté et je serais donc prit pendant le voyage à mon plus grand malheur. Ceci dit faite comme chez vous.”

“Mademoiselle, vous savez bien que tout m’intéresse toujours, de vous à ce que vous me proposé, je veux donc tout savoir comme toujours et je vous remercie pour ces informations des plus intéressantes, je ne sais ce que je ferais sans vous. Première fois et vous m’êtes déjà obligatoire pour la suite, bravo.”

Mais il en fut surtout de même pour chacun de ses gardes du corps appeler par leurs prénoms et servit, avant même qu’ils aient répondu de la bonne boisson, il sait tout sur les hommes qui l’accompagne et cela fait parti du métier de ceux-ci. Pourtant il fait aussi tout pour maintenir de bonne relations et se montré proche et agréable tout autant que facile à protégé et à vivre. Chacun son domaine.

Avant même le décollage il tend un petit appareille à Dimitry, dans sa pose il montre bien que ce n’est pas une question, ni même une possibilité mais une obligation, il va devoir aller vérifier ce cerveau lui-même et il prit le mercenaire de bien vouloir lui donné tout les accès auquel il a accès. C’est donc d’une oreille distraite qu’il écoute les conversations de l’avion qui décolle sans pour autant en raté une miette alors qu’il est concentré sur son travail de cherche les yeux fermé, plonger dans le monde du cyber-cerveau d’un mercenaire.

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Alors que Romualde sort de la voiture blindée qui les à conduit jusqu'à son jet privé, Dimitry observait cet individu. Clairement beaucoup plus dangerous qu'il en avait l'air, il faudrait se méfier de ce type. L'autre Gardien l'inquiétait moins. De tous les membres de l'Organisation, Dimitry avait le plus confiance dans les Gardiens, et surtout les Fantassins. Ils savent faire le boulot sans chercher la gloire et le pouvoir, et ils sont en général dignes de confiance.

Le fort accent russe dans sa voie le rassura également. Après son séjour en Amérique du Sud, avec tous ces Sanskrits, des vieillards volants et des types avec des bras en pierre ou des ailes, il était bien content d'etre accompagné de ce qui dans l'Organisation se rapprochait le plus d'un товарищ. Et elle n'avait pas l'air affiliée aux Seigneurs du Fer. Tant mieux.

L'engin volant de Romualde le laissa béas une seconde. Dimitry savait apprécier de la belle feraille, et cet enjin était à la pointe. Il changea d'avis quand il entra dans l'engin. Tout sentait le luxe, le cuir, le chrome. Dimitry avait l'habitude de la boue, l'acier, et le sang. Mais il n'était pas là pour faire des commentaires sur la déco, et il savait que les apparences, dans certains milieux, peuvent faire plus de différence qu'un tank.

S'installant dans l'engin, il écouta attentivement les paroles de Romualde.

-“Messieurs de la LMNG Corp j’espère que cette petite vision vous à plus mais il est aussi simple de venir le visité sur le salon … Cependant mon cher ami je me verrais dans l’obligation de vérifier votre cyber cerveau durant notre séjour en avion, tout était brouillé jusqu’à maintenant mais comme je ne pourrais rien au club il faudra que certain secret reste uniquement dans votre mémoire ne puisse être atteint par ceux qui vous on fournit ce model bien ancien comparé à ce que fait Horizon … Mais prenez un verre je m’y plongerais dans quelques minutes.”

Il eut un mouvement de surprise en entendant le nom de la "LMNG Corp". Il avait du etre mal informé, Dimitry n'avait jamais eut de contact avec cette organisation. Mais surtout, il ne pouvait pas partager les informations qu'il avait obtenu lors de la mission en Colombie. Il ne pouvait pas encore faire confiance à ce Romualde, et l'existence de Wadé et de ses frères était une information qu'il ne pouvait pas partager, surtout pas avec quelqu'un d'aussi influent.

Il pensa un instant tenter d'éliminer les informations, mais un type comme Romualde le saurais immédiatement, et connaissait probablement son système mieux que lui-meme. Il allait falloir la jouer franc jeu. Après tout, Dimitry n'avait aucune idée de comment tout ce bazar fonctionne.

-"M. Barde. Je suis honoré d'etre assigné à votre protection. Ma mission est de vous protéger, et celà inclus vous protéger de tout danger que vous estimez potentiel. Je ne peux néanmoins pas vous donner accès à mon cerveau, comme j'imagine que vous ne seriez pas ravi de me donner accès au votre. Je suis conscient de l'importance de ce que vous m'avez révélé, et je peux néanmoins vous donner ma parole que à la fin de notre mission, je vous donnerait accès à toutes les informations que j'aurais enregistré depuis mon entrée dans cet appareil. "

Il se fige, le jeune homme est assis sur son siège et tend toujours le clip à l’armure vivante qui est sensé lui servir de garde du corps, comme si il n’avait pas tout à fait bien comprit ce que l’homme venait de lui dire … Puis le temps reprend son cours alors que l’avion décolle et le regard vide de monsieur de Barde se pose sur le cyborg … Il est calme et un léger sourire se dessine sur ses lèvres. Un jour un de ces fou de psychiatre qui croit comprendre entièrement l’esprit humain à dit qu’on pouvais savoir ce qu’un homme pensait grâce à ses expression, ou même à son écriture … Les gens utilise toujours ce système sans vraiment prendre en compte la culture alors qu’elle a une importance catégorique dans ce domaine. Mais ici, n’importe quel ouvrier, n’importe quel ingénieur ou même chef d’entreprise qui à fait face à un patron sait que c’est l’instant où on se roule en boule sur sa chaise et ou on s’excuse platement d’avoir dit une bêtise. Instant critique que le grand chef d’Orizon, un des hommes qui emploi un pourcentage de la population planétaire, une des plus grandes fortunes mondial, lui ne laisse pas planer :

-“Cher, très cher assemblage métallique et humain, je sais que vous pensez bien faire en voulant protéger à la fois ma personne et votre mémoire.
Mais ici il n’est jamais au grand jamais question de penser bien faire, il est toujours de question de faire les choses parfaitement sans laisser la possibilité aux choses de suivre un cours qu’elle ne devrait pas. Ainsi, et vous devrez le retenir : quand je donne un ordre j’attends à ce qu’il soit suivit et ne pas avoir besoin de m’expliquer.
Mais et par solidarité pour vos maitresses ou mignons dont je n’ai rien à faire, je vais vous promettre de ne pas révélé ce que je vais voir à l’intérieur de votre boite qui sert de stockage à vos informations.
Cependant si c’est pour une autre raison que vous faites ça, sachez que je suis mieux informé que vous, et qu’il n’y a aucune information dans votre cybercerveau qui ne peux être atteint autrement par mes service. Par contre, il se trouve que vous avez de plus en plus l’air d’être un espion pour une petit corporation qui s’intéresse de près aux détailles de l’Organisation, et qui de plus s’intéresse à ce que je fais. Or et pour votre plus grand malheur, à la différence d’Orizon la dite corporation n’est pas sur. Ainsi soit vous mettez ce petit clip vous-même et je ne vous fait aucun mal, j’oublie tout cela car vous coopéré gentiment avec moi, soit vous ne sortirez pas de cet avion, vous mettrez tout de même ce clip mais je vous promets que toute votre mémoire fera parti de mon rapport et vous passerez quelques instant douloureux.
Je sais mon cher ami que vous êtes fort, et fort bien entrainé. Vous faites certainement parti des meilleurs car vous avez été mis ici, mais je peux aussi vous promettre qu’il y a ici assez d’hommes pour vous mettre ceci de force et vous apprendre les résidu de bien séance et de politesse qu’il vous manque …
Mais je manque à mes manières, je m’excuse la rage m’as emporté car j’ai eut la vague et bizarre impression que vous souteniez une corporation qui est surement infiltré jusqu’à la moelle par des anges et des démons à but fortement lucratif et non axé sur une vie libre et sereine d’une humanité tel que nous la connaissons. Mais je dois me trompé, un homme tel que celui que j’ai cru entendre ne peu faire parti de l’Organisation. Je m’excuse donc pour mon comportement et vous demande de mettre ce petit clip une nouvelle fois.”

Son sourire s’était calmé, à chaque instant son expression facial avait suivit le cours de son discourt, comme sa gestuel d’ailleurs, il semblait des plus sincères autant qu’il semblait croire à ses dires et à ses affirmations. En fait, à première vue, rien ne l’importait plus que l’avenir de l’humanité et un certain Dimitry était en état de la risqué à cet instant précis … Ce qui serait fort triste vue les efforts qu’il mettait à la garder des plus stables. Et en aucun cas n’entrait en ligne de compte un conflit d’intérêt avec les intérêts de son entreprise, jamais, il était bien au dessus de ça …

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

Dimitry eut un instant de silence. Ce type ne plaisantait pas, et voulait vraiment ces infos. Pourquoi, ca il ne le savait pas. Et Dimitry n'était pas fan de ce genre de magouilles. Mais il ne pouvait pas donner ses infos à ce type. Il était trop important, et trop dangereux, pour etre au courant de l'existence des Yao. Il était peut etre déjà au courant et le mettrait au silence, probablement. Dans tous les cas, ces informations ne pouvaient pas lui etre données. Il faudra faire autrement.

La confiance que Romualde montrait ne semblait pas etre du bluff. Il allait falloir la jouer finement. Ce qui n'était pas le fort du colosse russe.

- "Ma mission n'est pas d'etre à vos ordres, mais de vous protéger. Je ne doute pas de votre pouvoir, mais les seuls ordres auquels j'obéis sont les ordres de mes supérieurs, et de ceux qui ont obtenus mon respect.

Si je suis éliminé de la mission, vous allez avoir un garde du corps de moins. Et je peux vous assurer que si l'Organisation m'a donné cette mission, c'est que vous avez besoin de moi.

Pour vos accusations d'espionnage: c'est l'Organisation qui m'a donné cette mission. Si je suis un espion, ceux qui m'ont donné cette mission sont au service de, comme vous dites, "une petite corporation". Si vous pensez vraiment que le Conseil de l'Organisation est au service de votre compétition, votre problème n'est pas avec moi.

Donc vous avez le choix. Vous pouvez accuser le conseil d'espionnage, perdre un garde du corps à un moment ou vous en avez le plus besoin, tout ca pour des informations que visiblement vous pouvez obtenir d'une autre manière...

Ou vous pouvez faire confiance, dans moi et dans l'Organisation."

Le jeune homme d’affaire et ses quelques, et si peux nombreux, défauts écoute calmement l’homme en face de lui, qui, pour une raison inconnu, lui tient tête et ose même lui répondre. Toujours assis et tenant toujours la chip dans la main il est resté ainsi pendant tout le discourt de son garde du corps, presque aussi têtu et désagréable que lui, mais après tout c’est de bonne guerre… Sauf qu’il s’acharne sur des arguments stupides … Des points sans importance.

Un soupir et il reprend, tout dans ses mimiques autant que dans sa gestuel montre un homme calme et sur de lui, finit le petit sourire en coin désagréable voir agressif. Mais il tient tout de même tête à un être deux à trois fois plus lourd que lui, sans compté les pièces métallique bien entendu.

-“Nous nous somme mal comprit, je me fiche de vos informations, royalement, même si je n’ai pas une total confiance en l’organisation je comprend qu’ils ne me disent pas tout ce qu’ils savent et j’ai mon réseau personnel qui me permet de savoir ce dont j’ai besoin … Certain de mes amis ou de mes hommes sièges à l’ONU … Et mes équipe couvre autant le normal que le paranormal pour en faire des émission télévisé. Chaque photo de Smartphone, chaque message internet, est susceptible de passé dans les filtres qui sont posé sur la toile pour le bien commun et donc éveiller un de mes espions. Vraiment, je n’ai pas l’intention de fouiller dans votre cyber cerveau.
Je veux y effacer des données qui sont vital pour moi et que vous avez vu ou entendu, je ne vous demande pas de comprendre l’économie mondial, ni même de renier ceux qui vous ont implanté leur technologie dans le crane et s’en servent à première vue pour récupéré les informations que vous souhaitez me caché, peu être même contre votre gré … LMNG à des pions dans l’Organisation et cherche toujours à avancer plus loin sans avoir à montrer patte blanche. Mais cette histoire est un combat qui je le pense, peux être à tord, vous dépasse ou vous importune sans que vous ne souhaitiez y apporté toute la considération qu’elle demande.
Pour faire simple, en temps que garde du corps vous allez et avez assisté à des données confidentiel que la LMNG peux utiliser contre moi ou l’organisation, nous ne somme concurrent que sur le domaine de Phatom, c’est donc plus pour le bien de l’Organisation que je fais ça.

Cependant il est de votre droit de vous obstiné à refusé, je vous propose même de suivre mon intrusion par tablette interposé que vous puissiez m’alarmé si je vais dans un domaine qui vous interpelle … Personnellement ce qui remonte avant notre rencontre ne me concerne pas, et je suis un homme d’honneur que vous le croyez ou non… Même si je n’ai pas l’habitude de m’expliquer longuement, à vrai dire ce que vous m’avez fait perdre comme temps en explication vaut bien plus que votre salaire de cette mission.

Ceci dit, comme je l’ai déjà dit, il est de votre droit de refusé encore et toujours. Si c’est le cas, soit je ne peux vous permettre de sortir du 747, soit je vous laisse un brouilleur pour votre cerveau et un nouveau téléphone de la dernière génération, pour être précis le prochain téléphone des chefs d’entreprise qui sortira dans quelques mois … Ainsi je m’occuperais de votre cerveau après la mission avec l’aval de l’Organisation et je vous promets que je peux être désagréable.

Le choix est votre monsieur Dimitry Guryev.”

Dans une main il a la puce ainsi qu’une tablette, dans l’autre il a sortie une petite puce connut par tout les gens du milieu comme étant une brouilleur direct à branché sur l’appareille que vous voulez brouilleur totalement ou redirigé vers votre terminal au moins en flux croisé pour écouté. Enfin un téléphone dernière génération est posé à coté de lui, sur la table, à première vu il lui sera donné de toute façon.

Rapidement, et en pianotant sur la chaise comme pour se calmé il a envoyé un cours mémo à sa secrétaire en charge de l’Organisation :

“A passé par le canal rapide, voir Urgent, attention à celui qui vas le recevoir, ça concerne un sujet sensible :

J’ai découvert que messire Dimitry Guryev possédait un implant cervical de type cyber-cerveau capable d’enregistré ses cinq sens et possédant une partie mémoire à laquelle il ne semble pas avoir un accès clair. Je crains que son actionnaire majoritaire, la LMNG corp ne s’en serve pour mettre un pied de plus dans l’organisation et récolté quelques donné en plus qu’il aurait mieux valut laisser au secret.
Je vous prie donc de me laissé les droits pour enquêté sur ce point et de faire ce que je jugerais nécessaire pour ne pas nuire à l’Organisation ainsi qu’à Orizon par votre faute. Je vous demanderais de plus de faire attention aux personnes que vous envoyez, le point économique, même si il peu semblez subsidiaire est vital pour vous comme pour moi et nos intérêt y sont commun. Il va donc de votre devoir d’évité de promulgué des actions corporatiste.
Je m’excuse de la rapidité de ce message ainsi que de sa brusquerie, je sais que vous êtes aussi pris que moi,

Je vous prie d’agrée, Monsieur, l’expression de mes salutations les plus sincères.
Cordialement,

Romuald De Barde …

Je compte sur vous pour le reste du baratin autour et j’aimerais avoir les droits avant le milieu du vol …”

C’est un fait, en aucun cas Romuald n’a ou ne pourrait avoir un mauvais caractère …

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

Dimitry eut un soupir. Ce type butait vraiment sur ce point, qui pour le russe semblait etre une affaire triviale. Mais il avait une mission, et un client difficile reste un client. Il n'allait pas rater sa paye a cause d'un parano.

Mais il y avait une opportunité qui intéressait Dimitry. Ce type voulait voire ce qu'il y avait dans son cerveau. Dimitry avait un manque de confiance envers ceux qui lui avaient donné ces implants. Avoir un expert qui y jettait un coup d'oeil pourrait lui etre utile, mais il ne pouvait pas faire confiance dans ce type. Pas encore en tout cas. Il allait faire un pari.

"Bon. Voilà ma proposition, M. PDG. D'abord, cet implant n'a pas de capacité wireless. Donc tant que je ne suis pas face à un ordinateur avec le logiciel approprié vous n'avez rien à craindre.

Vous me donnez un ordinateur, maintenant, pour que je dépose les données que j'aurais obtenus avant d'avoir obtenu cette mission, donc avant que je sache quoi que ce soit sur vous. Ensuite j'enfile votre gadget et je vous laisse vous amuser, faites ce que vous voulez. "

Ensuite, il se rapprocha du Sans-Voie, pour etre sur que personne d'autre ne les entendait.

"Mais il y a un point important. Vous devrez me dire ce que vous aurez appris sur cet implant, et ceux qui me l'ont donné. Je ne leur fait pas plus confiance que vous."

Un sourire se dessine sur le visage du personnage, un beau sourire même car si il ne semble pas faire attention à son physique sa bonne étoile fait le travail pour lui, il y en a qui ont de la chance et d’autres moins … Puis quand sa voix cristalline et heureuse d’avoir enfin trouvé un terrain d’entente retenti on ne se demande plus pourquoi il est la figure de proue de sa méga corporation, magnifique, intéressé, calme et agréable à première vue –car a seconde il semble plutôt difficile voir irascible, chacun ses qualités- il mérite bien ses quelques fans. Enfin si l’on considère que le mérite peu être acquis par la naissance et un visage d’ange car c’est plus ça qui le pousse sur le devant de la scène que son travail acharné.

Il tend donc une tablette de dernière génération, ou plus précisément, pas encore sorti sur les marchés publiques comme tout ce qui es dans cette avion et doit couté bien plus que la vie de la population d’une belle ville, tout en l’allumant d’un simple geste.

-“Faite vous plaisir détendez-vous, ne pensez plus à rien, prenez place, et laissez moi jouer comme il se doit dès que vous vous serez libéré de tous ce qui vous importune. Je suis certain que vous trouverez un logiciel équivalent quand vous rentrerez vos codes, nous avons aussi une tel technologie et je suis certain qu’en moins de dix minutes vous pourrez sortir ce qui vous tracasse. Après mettez ça …”

Lui c’était branché à un câble qu’il avait sorti de son fauteuil, car c’était bien son fauteuil et son avion. Le câble le connectant à un ordinateur quantique posé à l’arrière de l’avion, pas tout à fait à la dernière génération car le refroidissement ne se faisait qu’à l’azote liquide pour le plus grand malheur du pauvre PDG habituer à son ordinateur personnel dont la puissance dépassait de loin celle de celui-ci. Mais l’azote liquide amène déjà une bonne fraicheur et peu donc tenir en vie les composantes quantiques qui n’aime pas la chaleur mais peuvent passer bien au-delà des calculs classiques.

“… et bien sur vous pourrez prendre le petit portable si vous le souhaitez, ce n’est pas un problème, et ça permettra d’avoir des conversations bien plus sécurisez qu’avec les Iphones que vous prête l’Organisation … Ce n’est pas que je suis paranoïaque, ça c’est votre travail, c’est juste que je sais de quoi je suis capable et donc de quoi peuvent être capable d’autres personnes …

Et un dernier détaille avant que je ne vous laisse sombré, je tiens toujours mes promesses et je vous le promets. Mais surtout surtout, vous pouvez être aussi familier que vous le voulez en privé, vous pouvez même m’appeler Romuald … Mais en publique, c’est uniquement Monsieur De Barde, non que ça me plaise mais l’image et aussi importante que l’information, ce sont les deux choses qui dirige le monde.”

Quelques instant il envoi un autre mémo à la demoiselle :

“Un rapport sur la corporation qui lui a mis ce petit détaille dans le crane, s’il te plait. Je t’en remercie bien.”

Alors il se laisse glisser dans le monde informatique laissant trainé une oreille indiscrète aux discutions mais se concentrant surtout sur son travail présent, il cherche, fouille, laisse des traces, des jolis œufs, et efface avec grâce les quelques informations sur les plans, sur ce qu’il est et ce dont il est capable mais aussi sur ce qu’il a vue à l’intérieur du jet et tout les secret industriel de la firme. Orizon est sous la protection d’un homme quelque peu obsédé par son travail … Mais n’est-ce pas ainsi que l’ont fait les meilleures choses ? Les plus pures ?

[Mj à toi de jouer, je veux un rapport sur ce que j’ai trouvé, tu sais ce que j’y fais …]

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

"...Et un dernier détaille avant que je ne vous laisse sombré, je tiens toujours mes promesses et je vous le promets. Mais surtout surtout, vous pouvez être aussi familier que vous le voulez en privé, vous pouvez même m’appeler Romuald … Mais en publique, c’est uniquement Monsieur De Barde, non que ça me plaise mais l’image et aussi importante que l’information, ce sont les deux choses qui dirige le monde.”

Dimitry acquiesca d'un signe de tete. Enfin ils pouvaient passer à des sujets plus importants.

"Pas de problème, je suis formé pour ce type de situation. Ne vous en faites pas au niveau de ma révélation d'informations, je ne parle jamais beaucoup."

Sentant diffusément l'intrusion de Romualde dans son implant, Dimitry attendait impatiamment que cette formalité soit terminée. Il sentait l'action arriver.

Il existe à présent plus personne qui ne vois l’informatique comme des lignes de 0 et de 1, probablement liée à l’arrivé de l’ordinateur quantique et à cette différence encore plus incertaine entre le zéro ou le un. Ou, comme le dirait certain grand philosophe, à la plus grande force de l’humanité : sa fainéantise. Chacun choisit ainsi son camps sans se préoccupé de celui de l’autre, car les faits sont qu’il doit à présent existé une centaine de personne qui savent lire et déchiffré des lignes de codes brutes et logique et non les adaptations qu’en font certain langages, et si Romuald en fait parti grâce à sa chance d’être légèrement autiste, venu avec sa malchance d’avoir un visage d’ange, il n’en est pas moins un homme et préfère donc voire arrivé de joli rapport que de complexes lignes.

C’est donc au milieu du silence du maitre du bord autant que des moteurs, et du bruit tamisé d’un petit mouvement des doigts presque imperceptible venant juste de faible stimulation qui lui permette de contrôlé son implant : qui, en plus d’être un merveilleux téléphone, à un clavier extrêmement perfectionné qui n’est autre que les muscles de son bras droit. Pratique, sauf quand on oublie de le désactivé et qu’un de vos amis reçoit un sms incompréhensible car vous avez serrez la main à un ami commun.

Mais pour en revenir à nos moutons, nos merveilleux moutons noir, Romuald De Barde, bien qu’assisté par un ordinateur des plus performant, un autisme parfait et un cerveau fort agréable pour ce genre de travail se laisse aller à son travail et au bout de quelques minutes déjà il aurait perdu n’importe quelle observateur, traitant les information tout en cherchant toujours plus loin dans les détailles, dans les petites failles autant que les mures lisses et bien trop désagréable pour un hackeur quand on connais l’incompétence crasse de la LMNG … Ainsi une petite alliance à dût être forgé pour cette triste et malheureuse histoire, dommageable pour eux, intéressant pour celui qui reste le pionnier de la sécurité informatique tel qu’elle est en ce jour d’hui.

C’est au bout de quatre belles heures de travail fort harassant qu’il décide d’en ajouté une autre, il aurait été triste de laissé passé une tel opportunité toute en sachant que personne dans ce petit planeur haut de gamme n’est capable de comprendre ce qu’il fait dans le livre ouvert qu’est le cerveau du gaie luron de Dimitry.

C’est donc tranquillement et un sourire sur ses lèvres réelles qu’il pose quelques beau et agréable Easter Egg pour ses amis de la LNMG. Ceux-ci prennent la forme de données effacées grâce au beau logiciel de gestion d’information, et donc comme il se doit mis en mode caché par ce dernier, des informations sur des lignes de code préparées il y a quelques temps déjà et posées à divers endroits, des informations sur des objets top secrets … Ou du moins officiellement secret, en vérité ce sont des choses montées de toute pièce et ardemment protéger pour faire perdre des ressources aux autres corporation ou tenter de leur donner quelques virus et d’inclure dans leurs programmes quelques failles … Des espoirs, des pièces d’échec posées, mais on ne rentre pas parmi les dix premières corporations, on ne survit pas dans la guerre froide du capitalisme sans ce genre de détailles agréable et passionnants. Une forme comme une autre de jeux. D’autant plus quand votre travail principal est l’information, sa récupération, sa maturation, sa distillation ou sa protection.

Ce n’est qu’une fois son petit jeux terminé et posé avec une grâce certaines qu’il daigne ouvrir les yeux et déconnecter son clavier virtuel d’un simple mouvement du petit doigt, mais un mouvement aberrant si on l’y regarde de près, un de ceux qu’on ne fait pas sauf si quelqu’un vous met un pistolet sur la tempe et vous le demande, et encore il vous faudrait quelques heures pour arrivé à rendre véritable les désirs fort étonnant du personnage tout aussi déluré.

Ouvrant les yeux donc, il se retourne vers l’homme et sourit de plus belle. Puis toujours engageant, comme si c’était devenu une seconde nature, ou qu’il avait été politicien dans une autre vie et probablement dans encore bien d’autres, il commence à parler à nouveau après cinq longues heures de silence bien venu :

“Monsieur, j’ai des bonnes et des mauvaises nouvelles ! La bonne c’est que vous êtes bien un espion ! La mauvaise c’est que vous êtes bien mal payer pour ce que vous faite, et il est même tout à fait inadmissible qu’il en soit ainsi. Je vous laisserais donc un peux d’argent en liquide, historie de ne pas laissé de belles lignes rouges de piste pour notre ami commun, quelques mois après la fin de cette mission.

Vous travaillez pour la LMNG Corp, mais pas seulement et votre seul paye est un implant Cortical 16-X-23, le au combien pas reconnu du tout à cause de ces bug prototype numéro 7 du projet Excelsior. Il n’en est pas moins fort sympathique pour ces augmentations martiales. Puis il se synchronise à chaque mise à jour avec dossier de la corpo … Rendant toute les données enregistré à cette dernière comme je le croyais. Ha, et, votre programme n’efface pas les donné, il les compresse juste, et les caches à votre vue, vous vous en doutiez, si vous voulez que j’efface quelque chose d’important qu’ils ne doivent pas savoir faite moi signe, mais cela prendra plus de temps … Mais après tout vous devrez me raccompagnez chez moi avant de vous synchronisé à nouveau. Comme promis je n’ai pas touché à votre mémoire ancienne, elle est intacte à vous de me dire si vous avez besoin de moi dans ce domaine.

Enfin, vous travaillez aussi pour une autre corpo, allier de la LMNG, leur incompétence chronique en sécurité n’a put être comblé aussi vite … Enfin, je dois vous avoué que j’ai effacé du mieux que j’ai put les donnés que vous aviez récupéré sur l’avion et sur moi, même sans y faire attention. Je doute qu’ils soient assez compétents pour trouver ce qui reste de ces données dans votre cerveau. Mais par principe de sécurité je vous demanderais de débranché votre enregistrement de sens et votre expansion mémoriel, j’aurais put le faire mais je ne voudrais pas me faire de vous un ennemi. J’en ai déjà assez comme ça.

Il nous reste une toute petite heure avant d’arriver, je vous écoute donc…”

Pendant ce temps, un petit mémo est envoyé vers une des unités d’informations :

“Pâques est en avance pour la LMNG, suivre l’évolution, attention ils ne sont pas seul, je veux des informations là-dessus, leur protocole de sécurité à été implémenté.”

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

Dimitry eut un moment de silence, le temps d'absorber toutes les informations que Romualde révélait. Il savait que ceux qui lui avaient donné cet implant lui cachaient des choses, mais pas que c'était à ce point-là.

Puis il commenca a bouilloner de rage. Surtout contre lui-meme. Il pouvait comprendre que ils ne lui disent pas tout, mais le mensonge est une autre histoire. Et maintenant il avait l'air complètement stupide devant Romualde, ce qu'il n'appréciais jamais beaucoup. Et surtout les infos sur les Yao étaient probablement maintenant en sa possession. Donc si il était un servant d'un des Yao infiltrés dans l'Organisation, Dimitry, mais aussi Crovus, Duncan, et les autres étaient en danger. Il entretenu pendant un instant la possibilité d'éliminer Romualde, mais il avait forcément une copie de ces infos déjà bien planquée.

En gros, il était foutu.

“Gardez votre argent, on ne devient pas milliardaire par altruisme, hein ? Si je voulais de l’argent je serai dans une compagnie para-militaire américaine, pas en route pour poutrer de l’Ange !

Bon alors j’imagine que vous vous doutez bien que j’était pas au courant, hein. Et que je suis probablement plus embété que vous. Surtout, ce qui m’énerve c’est pas de m’etre fait rouler, mais qu'ils n’ont meme pas eu la conscience professionnelle de bien se protéger. Si je suis un espion non-intentionnel, au moins que je sois un espion pour des gens qui savent ce qu’ils font !

Alors bon, il est clair qu’ils vont savoir que des données ont été virées, et donc que vous avez eut accès à ces données. Bon évidemment vous ca vous importe pas tant que ca, mais moi ca peut me mettre dans la mouise.

Surtout, j’ai besoin de maintenance sur mes implants après mes missions, et de réparations, vu que la dernière fois de l’acide m’avait bouffé la moitié d’un bras.

Alors...j’ai pas trop envie de continuer à bosser pour ces ordures. Donc je vous propose un deal. Vous prenez cette mission ensemble comme un test. Si vous aimez mes services, je bosse pour vous, en échange vous me donnez de la maintenance sans coups de pute, contrairement aux autres types. Et vous gagnez un allié qui est clairement pas assez fin pour vous trahir. Oh, en bonus, si jamais vous avez besoin de muscle pour démonter ceux qui m’ont utilisé, je vous donnerai une réduction !”

Romuald sourit, tristement, dans sa tête cela fait longtemps que toutes les idées qui ont traversé l’esprit de l’homme ont défilé, il se demandait surtout si il ferait un geste, rien qu’un seul dans la direction de le tuer … Mais ça aurait été stupide, d’autant plus dans cet avion, et plus tard encore plus, se serait bien plus dangereux que toutes les autres possibilités. Mais la nature humaine est parfois si compliqué, si étonnantes qu’il vaut souvent mieux compter sur les imbécilités.

Tranquillement et sans mot dire il écoute l’orateur qu’est Dimitry, pas très fin mais agréable dans son genre, il est sur que des choses venant de lui peuvent lui faire du mal, au moins un peu et certain qu’il pourrait le tuer si il prenait le temps. Pour sa vie, sa survit, il doit compter sur les autres, par les muscles et son influences, mais qu’il est dure de ne pas être gardien de sa propre vie, car tout ce qui à empêcher le cyborg de le tuer à cet instant poussera d’autres personnes à essayer d’avoir sa vie et de l’explosé dans le sang et des éclats de chair fraiche et tendre, pas assez entrainé. Doucement il caresse sa canne et le programme de nanomachine à l’intérieur, quelques secondes, une dizaine tout au plus d’invulnérabilité, mais pour cela il faut qu’il voit venir le coup, et le choque de ce dernier lui brisera surement un os, la seule chose qui sera empêché est la perforation de sa chaire … Peut-être un jour chacun pourra protéger sa propre vie, ce n’est pas encore le cas.

“Mon cher, j’apprécie votre réaction, le monde est dure, inégale, et chacun y a sa place, même si il est parfois dure de la trouvé. Vous avez fait un joli pas, je dois avouer que j’ai besoin de gens comme vous mais je déteste les mercenaires, je paye mes hommes et ils travail toujours, et j’applique ce mot avec justesse donc à tout ses sens, toujours pour moi. Pensez-y de votre coté, si je vous employé vous attaché votre vie à la mienne, vous partirez toujours en mission pour l’organisation, mais comme vous je n’ai pas confiance en elle, elle est gangréné par des gens comme ceux de la LMNG que je n’apprécie point. Votre loyauté si je prends votre charge, avec tout les problèmes que cela vas me posé vie à vie de la politique, devra m’être acquise et nous pourrons discuter de mes actions et de mes choix, mais sachez que j’ai toujours le dernier mot. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas me faire changer d’avis.

Je suis donc un maitre insupportable, réfléchissez-y avant de vous engager envers moi. Ceci dit j’ai tout de même une mission pour vous, que vous veniez avec moi ou non, je vous engage pour subir une dernière maintenance de la part de la LMNG, j’ai laissé dans votre cerveaux des informations tellement bien caché qu’ils croiront que je suis allé effacez ça … Et que malheureusement j’ai laissé des bous. Si ils ne sont pas assez prudent il y a de quoi couler leur entreprise sans laissé de marque … Ce sont des plans que j’ai toujours en réserve, que je garde depuis longtemps, et que j’espère appliquer un jour, vous êtes parfait pour ce travail. En contre partie j’effacerais tout ce que vous voulez avec précision, je suppose qu’il y a dans votre cerveau que vous avez voulut effacer des choses sur lesquelles elle ne doit pas tomber. Par contre pour les effacer je devrais en prendre connaissance.

Un dernier détaille, votre cerveau était bien protéger, et ce que ces gens en font encore plus, mais vous devez savoir que c’est moi qui ai crée le net actuel alors que je n’avais même pas atteint ma majorité. J’ai crée l’informatique tel qu’il est et c’est sur ces bases que les gens ont construit … De plus je suis l’un des hommes les mieux équipé dans ce domaines. Rien n’est mieux protéger que moi là bas, et rien ne peux me résisté tant que j’ai le temps, les moyens et que je suis sur que personne ne découvrira mon infraction avant que j’ai effacé mes traces. Je ne sais pas défendre ma vie, ni traquer, ni me cacher, ni courir un marathon, ni tuer quelqu’un, mais je sais parler, faire confiance, m’entourer, gérer une entreprise, et surtout jouer avec l’informatique …

Retenez ça et vous pourrez me tuer autant que m’être utile et rester à jouer dans la cours des grands à travers et par moi. Car si vous êtes avec moi sachez que je ne vie pas sans risque et qu’il y a bien plus dangereux que des anges ou des démons dans un caveau entouré d’une secte marmonnant … Il y a des présidents, des entreprises, des politiques, toutes ces créatures ne peuvent être attaqué comme cela … Il faut d’abord jouer des jeux bien plus dangereux, et si vous êtes avec moi vous serrez de cette partie. Vous avez toute cette mission pour réfléchir pendant que je réfléchis à votre proposition, mais ne pensez pas trop à ça, pensez surtout à ma vie, sinon tout cela sera vain …”

Il sourit, à première vue il n’as pas vraiment peur de la mort, il la trouve juste triste et dommageable, pour son entreprise ? Pour des gens ? Depuis qu’il a ses yeux il sait qu’il mourra bientôt, un jour, il essaye juste de reforger le monde à sa vision avant que l’Ankou ou un autre ne le rattrape, une espèce de but fou qui lui a permis de ne pas sombré lui-même dans la folie la plus profonde. On ne s’éveille pas chef d’une entreprise sans quelques conséquences néfastes.

Messages : 65 Date d'inscription : 01/08/2012

Rien n'est plus important que la loyauté, et j'ai bossé pour les Seigneurs du Fer donc niveau insupportable j'ai de l'expérience.

Vous pouvez etre le cerveau, je serais le muscle. Et si vous me débarassez de ceux qui m'ont utilisé, vous aurez ma loyauté.

Je suis un mercenaire depuis que j'ai qutté les Seigneurs du Fer mais ce n'est pas mon choix. Je préfère une organisation avec un but précis, et etre un outil pour obtenir ce but. Ceux qui m'ont donné ces implants ont des objectifs qui ne suivent pas les miens, donc je ne veut pas etre leur outil. Si vous objectifs sont aider l'Humanité contre les Anges et les Démons et respecter le libre-arbitre, on pourra faire du bon travail ensemble.

Vous vivez dans des cercles plus gris que ceux dont j'ai l'habitude. Espionnage, sabottage, jeux politiques, ce n'est pas ma spécialité. Mais il y a une chose que je fait mieux que personne, c'est accomplir des missions.

Je suis une arme, mais une arme qui à le choix de qui la porte. Je suis Excalibur, et si vos intentions sont aussi louables que vous le dites, peut-etre que vous serez Arthur.

Se relaxant dans le canapé confortable de l'appareil, Dimitry ferma les yeux un instant. Dans quoi est-ce que il se fourrait encore ? Loin était la belle époque ou on lui donnait un nom et une adresse et ou il n'avait pas à poser de questions.

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